Lamort nâest rien. Je suis simplement passĂ© dans la piĂšce Ă cĂŽtĂ©. Je suis moi. Tu es toi. Ce que nous Ă©tions lâun pour lâautre, nous le sommes toujours. Donne-moi le nom que tu mâas toujours donnĂ©. Parle-moi comme tu lâas toujours fait.
Trouvéà l'intĂ©rieur â Page 85Je suis rĂ©solu de servir Dieu dans cet asile , et de commencer dĂšs ce moment . Cependant , Pontitien et celui qui se promenait avec lui d'un autre cĂŽtĂ© Jonathan CĂŽtĂ© : plus de 125 clients en moins d'un an - AutoMedia . » (St Augustin) Sylvie LECONTE-CUVELIER, HervĂ© et Brigitte LECONTE, ses enfants RaphaĂ«l CUVELIER et
Messages& Citations du souvenir et de condoléances. Citations Tristes. Belles Citations. Citation Vie . Citation Typographie. Citation Enfants. Texte Deuil. Texte Amour (image internet) Permets à mon sourire de t'offrir ma tendresse. Permets à ma main de t'apporter du doux. Permets à mon regard de te dire ton importance Et accepter ainsi ma gratitude au cadeau de ta présence. -
Vay Tiá»n Nhanh. Les mots du philosophe et thĂ©ologien Augustin dâHippone Ă©crits au 5e siĂšcle pour dire la prĂ©sence Ă©ternelle des absents⊠đđ Lâamour ne disparaĂźt jamais⊠la mort nâest rien. Je suis seulement passĂ© dans la piĂšce dâĂ cĂŽtĂ©. Je suis moi et vous ĂȘtes vous. Ce que nous Ă©tions les uns pour les autres, nous le sommes toujours. Donnez-moi le nom que vous mâavez toujours donnĂ©. Parlez-moi comme vous lâavez toujours fait. Ne changez rien au ton, Ne prenez pas un air solennel ou triste. Continuez Ă rire de ce qui nous faisait rire ensemble. Priez, souriez, pensez Ă moi, priez pour moi. Que mon nom soit prononcĂ© Ă la maison comme il lâa toujours Ă©tĂ©. La vie signifie tout ce quâelle a toujours signifiĂ©. Elle est ce quâelle a toujours Ă©tĂ©. Le fil nâest pas coupĂ©. Pourquoi serais-je hors de votre pensĂ©e, simplement parce que je suis hors de votre vue? Je vous attends, je ne suis pas loin, juste de lâautre cĂŽtĂ© du chemin. Vous voyez, tout est bien. »
ï»żCe que câest que la mort Ne dites pas mourir ; dites naĂźtre. Croyez. On voit ce que je vois et ce que vous voyez ; On est lâhomme mauvais que je suis, que vous ĂȘtes ; On se rue aux plaisirs, aux tourbillons, aux fĂȘtes ; On tĂąche dâoublier le bas, la fin, lâĂ©cueil, La sombre Ă©galitĂ© du mal et du cercueil ; Quoique le plus petit vaille le plus prospĂšre ; Car tous les hommes sont les fils du mĂȘme pĂšre ; Ils sont la mĂȘme larme et sortent du mĂȘme oeil. On vit, usant ses jours Ă se remplir dâorgueil ; On marche, on court, on rĂȘve, on souffre, on penche, on tombe, On monte. Quelle est donc cette aube ? Câest la tombe. OĂč suis-je ? Dans la mort. Viens ! Un vent inconnu Vous jette au seuil des cieux. On tremble ; on se voit nu, Impur, hideux, nouĂ© des mille noeuds funĂšbres De ses torts, de ses maux honteux, de ses tĂ©nĂšbres ; Et soudain on entend quelquâun dans lâinfini Qui chante, et par quelquâun on sent quâon est bĂ©ni, Sans voir la main dâoĂč tombe Ă notre Ăąme mĂ©chante Lâamour, et sans savoir quelle est la voix qui chante. On arrive homme, deuil, glaçon, neige ; on se sent Fondre et vivre ; et, dâextase et dâazur sâemplissant, Tout notre ĂȘtre frĂ©mit de la dĂ©faite Ă©trange Du monstre qui devient dans la lumiĂšre un ange. V. Hugo, 1802-1885
Lâamour ne disparait jamais, la mort nâest rien Je suis seulement passĂ© dans la piĂšce dâĂ cĂŽtĂ© Je suis moi, tu es toi Ce que nous Ă©tions lâun pour lâautre nous le sommes toujours Donne-moi le nom que tu mâas toujours donnĂ© Parle- moi comme tu lâas toujours fait. Nâemploie pas un ton diffĂ©rent, ne prends pas un air solennel ou triste. Continue Ă rire de ce qui nous faisait rire ensemble, Prie, souris, pense Ă moi. Prie pour moi. Que mon nom soit prononcĂ© Ă a maison comme il lâa toujours Ă©tĂ© sans emphase dâaucune sorte, sans une trace dâombre. La vie signifie ce quâelle a toujours signifiĂ©. Elle est ce quâelle a toujours Ă©tĂ©. Le fil nâest pas coupĂ©. Pourquoi serais-je hors de ta pensĂ©e simplement parce que je suis hors de ta vue âŠ. Je tâattends, je ne suis pas loin, juste de lâautre cĂŽtĂ© du chemin Tu vois, tout va bien. » Charles Peguy dâaprĂšs Saint Augustin
poeme je suis juste de l autre coté du chemin